Lundi 3 octobre 2022 | 9:30 – 19:00
Les troubles psychiatriques constituent un défi majeur pour la science, la médecine et la société. Les mécanismes qui conduisent à ces troubles sont loin d’être compris et font l’objet d’intenses recherches. L’étude des composantes génétiques peut aider à identifier la pathophysiologie. De vastes progrès ont été réalisés au cours des dernières décennies grâce aux avancées de la génomique et des technologies de séquençage, qui ont révélé la complexité des facteurs de risque génétiques.
Certains de ces facteurs jouent un rôle dans le développement du cerveau et peuvent avoir des conséquences cliniques tardives. Parallèlement, le rôle des facteurs environnementaux est fortement étayé et les interactions gène x environnement font désormais l’objet de recherches scientifiques. Un niveau d’interaction possible est la persistance de modifications épigénétiques qui augmentent le risque de développer des troubles pathologiques.
Le colloque réunira des scientifiques de haut niveau qui étudient ces questions sous différents angles. Les intervenants présenteront un résumé des avancées récentes et confronteront leurs points de vue sur la contribution des facteurs génétiques et épigénétiques à l’architecture des troubles psychiatriques. Du temps sera également consacré aux présentations de posters et aux échanges.
Participation gratuite (collations incluses) mais inscription obligatoire !
Pour vous inscrire, consulter le programme, soumettre vos posters ainsi que toute autre information pratique, rendez-vous sur le site :
L’événement sera à la fois le colloque de clôture du Labex Bio-Psy (retardé par la pandémie) et un colloque exceptionnel de l’IFM et de NPS soutenu par la Fondation FondaMental et l’UFR des Sciences de la Vie de la Faculté des Sciences et d’Ingénierie de Sorbonne Université.